La lecture de Thierry Metz aura sur lui l’effet d’une épiphanie : elle le poussera à mettre en ordre ses carnets griffonnés à même les chantiers, qui feront l’objet d’une première publication. Peindre le travail, mais pas que… Le musicien qu’il est et qu’il fut avant d’écrire le rattrape et le pousse à mettre en musique ses textes et à les dire en public. La musique encore avec plusieurs ouvrages sur le rock, et le début d’une relation suivie avec les éditions Les Fondeurs de Briques. Avec La Dépense, texte associé à un court-métrage, se détache une approche élargie de sa création poétique.