Mon travail s’incarne dans des zones d’occupation temporaire. Elles s’auto-organisent au travers de zones de prospection diverses charriant toutes sortes de décombres.

Paroles humaines (?), animales, cris, débris, délires, abstractions. Constructions hésitantes et fragiles d’espaces sensibles où tensions, incohérences, interrogations ne trouvent aucune résolution dans l’immédiateté de l’expérience.

Des mots, plus que des mots : ENERGIE, VERTIGE, ALCOOL, IVRESSE,

visions jubilatoires, dégénératives et malades, MONSTRES, CHAROGNES.

Espaces sonores de tout poil, actés, soufflés, gueulés, chantés, crachés, éructés, mixés, pulsés, parlés, visés.

Des mots et plus encore : VIOLENCE, DEPRESSION, PERTE, FLEMME, MOTS D’ORDRE, DESIR, FEMME, RAVAGES, GROTESQUE, ISOLEMENT

JE N’ARRIVE PAS A VOUS PARLER.

ETAT DE LA RECHERCHE (contre la police du rire) : détection du rire en son point de gravité. CONCEPT IDENTIFIE : qu’est-ce qu’une anti-image ? Cet Autre vers lequel je vais et qui me parle (c’est sûr, il va me péter la gueule)

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