Agnès Aubague travaille les mots, déclinés en performances poétiques sifflées, mais aussi en photos, vidéos, collages et adhésifs… Ses Dictapoèmes polyglottes ont été entendus à Expoésie, au Père Lachaise (Paris), à la Maison de la Littérature (Québec), au Bowery poetry club (New York). Il s’agit de ballades en français, anglais, espagnol et dans sa « langue des oiseaux » (liée aux alchimistes et aux volatiles), à travers des thématiques intimes ou un quotidien saugrenu, jeux de mots et d’esprit sautant du chat à l’alligator, histoires de bestiaire un peu toqué et de familles imaginaires…