En 1980, Joël Ducorroy rencontre Serge Gainsbourg et se livre avec lui à une brève facétie verbale : « Et cætera c’est adéquat ». Il adopte le support de la plaque minéralogique dès 1981, « c’est rapide à réaliser, et l’artiste n’a rien à faire ». Il retourne à New York en 1987 pour une nouvelle exposition personnelle et rencontre à cette occasion Andy Warhol. Joël Ducorroy adopte la dénomination d’artiste plaquetitien. L’artiste offre au regardeur de créer sa propre représentation. Les mots qu’il utilise sont la peinture d’un peintre sans pinceau. Il applique ses idées, dans différents domaines, comme l’architecture et la photographie. Plusieurs expositions personnelles lui ont été consacrées en France et à l’étranger.

Photo : O. Fryszowski